L'incendie est sans doute l'évènement catastrophique le plus redouté dans une entreprise. Les conséquences qui en résultent sont désastreuses pour les humains qui peuvent se retrouver piéger, pour les locaux, les clients et aussi pour le/la chef(e) d'entreprise et tous les collaborateurs qui du jour au lendemain se trouvent au chômage. En quelques secondes tous part en fumée...
Afin d'éviter que cette catastrophe ne survienne, le risque incendie doit être pris en compte avec sérieux.
Environ 70% des entreprises ne se relèvent jamais à la suite d'un incendie dans les mois qui le suivent. De plus, selon la Caisse nationale de l'Assurance Maladie (CNAM), par an, il y a environ 250 accidents qui ont engendré 15 accidents graves avec incapacité permanente, et 1 à 2 décès.
Afin de vous aider à prendre en compte ce risque, dans cet article, découvrez dans un premier temps comment un incendie se créé. Puis par la suite vous trouverez des exemples afin de vous aider à gérer le risque incendie dans votre entreprise et et pouvoir agir efficacement.
Définitions
Une combustion
Une combustion résulte du triangle du feu. Il s'agit d'une réaction chimique exothermique (qui produit de la chaleur) d'oxydoréduction qui se produit grâce à la réunion de trois éléments :
un combustible, c'est le corps qui brûle (bois, cartons, plastique, liquide, gaz...) ;
un comburant, qui va entretenir la combustion (il s'agit de l'oxygène) ;
une énergie d'activation, nécessaire au démarrage de la combustion (flamme, point chaud...).
Afin de se produire, l'ensemble de ces trois éléments se trouvent en quantités parfaites.
Le feu
Il existe une différence de définition entre un feu et un incendie. Le feu est une réaction normale, exothermique (qui créer de la chaleur) d'oxydoréduction. Son développement est maitrisé à la fois dans le temps et dans l'espace.
L'incendie
L'incendie lui, correspond à un feu qui n'est pas maitrisé dans le temps et dans l'espace.
Phases de développements du feu
Il existe 4 phases de développement :
Feu naissant : les conditions sont idéales pour qu'une combustion se forme ;
Feu en développement : la chaleur va augmenter, ce qui va permettre aux combustibles à proximité de se déshydrater puis de créer à leur tour des gaz de pyrolyses. Une fois arrivé à une certaine température, et aux bonnes proportions, ces gaz vont s'enflammer. Le feu est donc en train de se développer. Dans cette phase, les conditions du mélanges seront cruciales. En effet, le mélange pourra être en bonne proportion ou bien en mauvaise par un manque de comburant. Dans ce cas, si le confinement est maintenu, le feu conduira à sa quasi auto-extinction. En revanche si se confinement est rompu et qu'il y a un apport suffisant en comburant, il y a risque d'un phénomène thermique grave, conduisant à une croissance du feu plus ou moins violente ;
Feu en plein développement. Il s'agit du développement normal d'un feu. Cela correspond à l'embrasement général de tous les corps combustibles possibles présents ;
Feu en phase en régression. Le feu est limité du fait du manque de combustible. Tout ce qui pouvait être brulé l'a été. Les conditions ne sont plus favorables pour son développement.
Modes de propagations
Un incendie peut se propager de différentes façons. En effet, selon la configuration des lieux, d'autres matériaux combustibles peuvent se trouver à proximité direct ou indirect, ce qui aura pour conséquence une augmentation plus ou moins rapide du sinistre.
On retrouve 4 principaux modes de propagations :
la conduction : ce phénomène correspond au transfert de chaleur par l'intermédiaire d'un matériel. Le métal est un très bon exemple de matériel conducteur de la chaleur, ce qui peut induire à une propagation de l'incendie ;
la convection : c'est la propagation de la chaleur par un fluide en mouvement. Dans le cas d'un incendie, ce sont généralement les fumées qui contiennent des gaz chauds ;
le rayonnement : il s'agit de la propagation de la chaleur par onde électromagnétiques ;
le déplacement d'objet : certains corps en feu, peuvent être amenés par différentes façons (vent, dispersion...) à se déplacer et ainsi enflammer d'autres éléments à un autre endroit.
Nous avons définis les bases du fonctionnement de l'incendie. Nous pouvons désormais identifier les principales sources de risques en entreprise.
Les principales sources d'incendies
Tous comme les autres risques, conformément à l'article L4121-3 du code du travail, il convient à l'employeur d'évaluer les risques pour la santé et sécurité des travailleurs.
Le risque incendie est donc à prendre en compte au même titre que les autres. De plus, ces risques d'incendies devront eux aussi être consigné dans le Document Unique (DUERP). A l'issue, des actions de prévention doivent être mises en place.
Pour vous aider à évaluer ces risques voici les principaux dangers et causes de déclenchement d'un incendie :
électrique : il représente près d'un tier des causes d'incendies. En effet, des appareils vétustes, court-circuit, une utilisation surchargée des réseaux comme une superposition de multiprises créant un échauffement, des matières combustibles dans les armoires électriques... ;
thermique : en entreprise, il est courant d'être confronté à des surfaces chaudes comme des fours, des flammes, des machines créant de la chaleur suite à des frottements. Si un combustible se trouve a proximité et que l'énergie d'activation (chaleur) est suffisante, cela créé un départ de feu ;
électrostatique : bien que moins important, ce danger n'est pas à négliger car difficile à voir. L'électricité statique peut créer des étincelles et un échauffement sur certains corps ;
chimique : mauvais stockage de produit, mélanges, autochauffements, réactions exothermiques, mélanges stockage entre acide et base... Gérer le risque chimique est nécessaire à une bonne gestion du risque incendie ;
mécanique : ce danger peut être présent notamment lors de travail par point chaud. Il est donc important de le maitriser avec le permis feu ! Étincelles de meulages, soudures, sont de bons exemples à prendre en compte ;
climatique : il arrive que la foudre soit vecteurs d'incendie.
travaux réalisés par des entreprises extérieurs. Il est donc nécessaire pour maitriser au mieux ce vecteur de risque, de rédiger un plan de prévention et un permis feu en cas de travaux par points chauds.
70% des entreprises qui ont subies un incendie majeur, ne s'en relèvent jamais dans les mois le suivant
Gérer et maitriser le risque incendie
Un incendie majeur devient pour l'entreprise une situation de crise, de la même manière qu'il l'est indiqué dans l'article "gérer une situation de crise" (cf : https://www.vb-prev.fr/post/gérer-une-situation-de-crise-en-entreprise ). Afin de comprendre cette logique, il est nécessaire de faire un rappel sur l'organisation générale.
Pour éviter que cette crise ne survienne nous allons trouver des moyens de maitrises avant une crise. Cependant, au cas où, malgré tous nos efforts, cette crise survient, nous devons en réduire l'impact de part d'autres moyens. Enfin, à l'issue de la crise, des actions seront prises afin d'éviter que ce sinistre ne se reproduise.
Éviter la survenue d'incendie
Conformément à l'article L4121-2 du code du travail, l'employeur, tenu de mettre en place des actions de prévention doit s'appuyer sur le 9 principes généraux de prévention. Afin de maitriser les risques, voici des exemples de moyens de maitrises.
Moyens techniques
Pour commencer, cela fait référence au premier principe généraul de prévention : supprimer le danger. Il va être intéressant par exemple de prendre en compte le choix des matériaux. C'est ce qu'on appel le comportement au feu des matériaux. En effet il sera préférable, dans la mesure du possible, d'utiliser des machines, des matériaux, des produits ayant un risque d'inflammabilité faible. Cependant, avec les contraintes liées à la production, cela n'est pas toujours possible, c'est pourquoi d'autres moyens viennent compléter la démarche.
De plus, afin d'appréhender le plus rapidement un départ de feu, et donc en être maître ce qui évite de se retrouver en situation d'incendie (cf définition), des moyens de secours adaptés seront mis en place.
Moyens organisationnelles
Le premier moyen organisationnel correspond à l'évaluation des risque. C'est aussi le second principe généraux de prévention. Il s'agit d'une obligation du chef(e) d'entreprise. Ces risques sont consignés dans le Document Unique (cf : https://www.vb-prev.fr/post/comment-bien-rédiger-son-document-unique ).
Afin de gérer le risque, la législation et la réglementation imposent une certaine organisation. Le code du travail définit ces obligations. On retrouve des articles de loi, ainsi que différents arrêtés. Ceux-ci concernent les obligations de l'employeur et des maitres d'ouvrages, les dispositions pour la prévention des incendies, la signalisation de sécurité, l'éclairage...
De plus on peut retrouver les référentiels APSAD (Assemblée Plénière des Société d'Assurance Dommages). Ces référentiels contiennent aussi des règles d'organisation, pas forcément obligatoires, mais pouvant être demandé à suivre de la part des assurances.
Dans un but d'amélioration continu, il est nécessaire de vérifier l'état de maitrise des risques. Pour cela, il est possible de mettre en place des audits, à récurrences définies, permettant de voir plus rapidement les écarts possibles et mettre en oeuvre des actions.
Tout comme avec la pyramide de Bird, il ne faut pas négliger le moindre incendie. C'est pourquoi chaque départ de feu devra être signalé et analysé afin de comprendre les causes de survenu, et de mettre des actions correctrices.
Conformément à l'article R4323-23 du code du travail, " l'employeur procède ou fait procéder à des vérifications générales périodiques afin que ce soit décelé en temps utile toute détérioration susceptible de créer des dangers". Cela signifie que certains appareils, installations définis selon cette loi, doivent êtres vérifiés par une personne habilitée, ce qui permet de garantir le bon maintien en état. Cela évitera donc par la suite un risque d'incendie du fait de la vétusté.
Enfin, un dernier moyen que l'on peut citer est la réalisation d'exercice d'évacuation incendie. Se préparer à un possible sinistre permettra en limiter ses effets. Conformément à l'article R4227-39 du code du travail, "Ces exercices et essais périodiques ont lieu au moins tous les six mois".
Les moyens comportementaux
Ces moyens de maitrises vont notamment correspondre aux actions que l'Humain va devoir lui même mettre en pratique afin de maitriser le risque. Sur l'échelle des principes généraux de prévention, cela correspond plutôt au dernier niveau, qui est de donner des instructions approprié aux travailleurs. On retrouve les consignes de sécurité affichés au mur selon les dispositions réglementaires, les informations et formations sur les danger, les risques ainsi que tous les affichages servants d'avertissements.
Grâce à nos actions, le risque incendie est désormais réduit. Cependant, même si nous avons mis en place un maximum de moyens de maitrise, une probabilité moins importante peut toujours mener à un incendie. Le risque zéro n'existe pas mais l'objectif est de s'en rapprocher.
Limiter l'impact de l'incendie
Moyens techniques
Le maximum a été réalisé, mais le risque zéro n'existant pas, un incendie est désormais en train de se produire. Des moyens techniques vont nous aider à limiter son impact.
Tout d'abord, on retrouve des moyens de détections incendies. Il en existe une multitude. Le principe reste le même, détecter au plus vite la présence d'un incendie. Les détecteurs peuvent être reliées à un système de sécurité incendie (SSI). Ce système va permettre de localiser rapidement la zone concernée par l'alarme, ce qui favorise une action rapide sur le possible départ de feu.
Pour continuer sur le départ de feu, il est nécessaire de combattre le risque à la source. En effet, on dit que pour éteindre un feu au bout de 10 secondes, il faut un verre d'eau, au beau d'une minute un sceau d'eau, et une tonne d'eau au delà de 10 minutes ! Le choix des moyens de secours et leurs dispositions permet d'attaquer le plus efficacement possible le départ de feu et éviter sa propagation. Selon le type de feu, il y a différents modes d'exctinctions :
l'eau ;
l'eau avec additifs ;
la mousse ;
gaz inertes ;
sable...
Les moyens de secours existants :
extincteurs ;
robinets d'incendie armée (RIA) ;
système de sprinklage ;
couverture anti-feu ;
système de gaz...
Si le départ de feu prend de l'ampleur, et qu'il n'est pas possible de stopper sa propagation par les moyens de secours, la conception des batiments, préalablement conçue, aura pour but de limiter la propagation. Dans la mesures du possible, il est intéressant d'isoler les espaces à risques d'incendies, comme par exemple éloigner les zones de déchets, ou bien isoler un poste produisant de la chaleur des combustibles proches. Cette technique va permettre de limiter l'impact.
De plus, l'un des principes de la prévention du risque incendie est de favoriser l'évacuation des personnes. On retrouve pour cela des Bloc Automes d'Éclairages de Sécurité (BAES), afin d'acheminer les personnes vers les issues de secours. Pour faciliter la progression, des commandes de désenfumages vont ouvrir des ouvertures et pouvoir faire évacuer les fumées, qui pour rappel sont toxiques mais aussi un mode de propagation de l'incendie.
L'un des autres enjeu de la gestion du risque incendie correspond à la conception des locaux. En effet, les locaux devront permette une évacuation rapide et efficace. La réglementation définie par exemple la taille des dégagements (article R4216-8 du code du travail). De plus, les matériaux choisis auront une résistance au feu plus ou moins importante. Les portes coupe feu sont un bon exemple. En effet, grace à cette installation technique, l'objectif sera de contenir l'incendie dans une zone pendant une certaine durée. Ce qui limite sa progression et favorise le délai d'action afin de circonscrire le sinistre.
Moyens organisationnels et comportementales
Les moyens organisationnels afin de limiter l'impact vont beaucoup déprendre de ceux mis en place afin d'éviter le risque. Les deux reste en corrélation. Les exercices et formations au risque incendie vont permettre aux collaborateurs d'intervenir sur un départ de feu en utilisant les moyens de secours mis à disposition conformément à la réglementation.
De plus, selon le type de classement de l'entreprise au niveau ICPE ou non, celle-ci peut être soumis à un Plan d'Organisation Interne (POI) et/ou un Plan Particulier d'Intervention (PPI).
Le POI regroupe l'ensemble des informations disposant à mettre en place l'organisation. L'arrêté du 26 mai 2014 modifié et relatif à la prévention des accidents majeurs dans les installations classées mentionnées à la section 9, chapitre V, titre Ier du livre V du code de l'environnement, fixe son contenu.
Ce plan a pour objectif d'aider à la gestion lors d'une crise en s'étant organisé au préalable. Conformément à l'annexe 5 de l'arrêté du 26 mai 2014 modifié, le POI contient notamment :
Nom ou fonction des personnes habilitées à déclencher des procédures d'urgence et de la personne responsable des mesures d'atténuation sur le site et de leur coordination ;
Nom ou fonction du responsable des liaisons avec l'autorité responsable du plan particulier d'intervention ;
Pour chaque situation ou événement prévisible qui pourrait jouer un rôle déterminant dans le déclenchement d'un accident majeur, description des mesures à prendre pour maîtriser cette situation ou cet événement et pour en limiter les conséquences, cette description devant s'étendre à l'équipement de sécurité et aux ressources disponibles ;
Mesures visant à limiter les risques pour les personnes se trouvant sur le site, y compris système d'alerte et conduite à tenir lors du déclenchement de l'alerte ;
Dispositions prises pour que, en cas d'incident, l'autorité responsable du déclenchement du plan particulier d'intervention soit informée rapidement, type d'informations à fournir immédiatement et mesures concernant la communication d'informations plus détaillées au fur et à mesure qu'elles deviennent disponibles ;
Dispositions visant, en situation d'urgence, à guider les services d'urgence externes sur le site et à mettre à leur disposition les informations facilitant l'efficacité de leur intervention ;
Au besoin, dispositions prises pour former le personnel aux tâches dont il sera censé s'acquitter et, le cas échéant, coordonner cette action avec les services d'urgence externes ;
Dispositions visant à soutenir les mesures d'atténuation prises hors site
Dispositions permettant de mener les premiers prélèvements environnementaux, dont les méthodes de prélèvement appropriées, et les analyses comme indiqué à l'article 5 du présent arrêté, et portant sur les substances toxiques, les types de produits de décomposition mentionnés au I de l'annexe III et, le cas échéant, pour les installations relevant du L. 515-36 du code de l'environnement, les substances générant des incommodités fortes sur de grandes distances. Ce point est applicable aux plans d'opération interne ou à leurs mises à jour postérieurs au 1er janvier 2023 ;
Moyens et méthodes prévus, en ce qui concerne l'exploitant, pour la remise en état et le nettoyage de l'environnement après un accident majeur comme indiqué à l'article 5 du présent arrêté.
En cas de dépassement du sinistre en dehors des limites de l'établissement, le PPI sera déclenché pour protéger les personnes, les biens et l'environnement.
Enfin, concernant les moyens de maitrises comportementale, cela correspond aussi aux réactions humaines. Respect des règles de sécurité, informations et formations incendies, à l'évacuation. En effet, informer les personnes que tout le monde est en capacité d'utiliser un extincteur ou un autre moyen de secours, mais aussi doit utiliser les dispositifs d'alarme et savoir évacuer les locaux en sécurité.
Il existe donc une multitude d'actions pour éviter le risque de survenue d'un incendie, et pour limiter ses effets si celui-ci survient. Une fois l'incendie terminé, la gestion du risque incendie continu.
Comment s'en sortir après un incendie en entreprise ?
Le sinistre désormais terminé, il va falloir en faire le bilan. Comme indiqué plus haut, environ 70% des entreprises ne se remettent jamais d'un incendie majeur et ferment l'établissement dans les mois le suivant. C'est pourquoi il va falloir au préalable anticiper sur l'après crise en se posant notamment la question suivante : comment je peux continuer à faire vivre mon entreprise ?
La réponse à apporter se résume à mettre en place son plan de sauvegarde. L'objectif de ce plan est d'analyser au prélalable l'ensemble des vulnérabilité et d'en apporter des moyens de maitrises. Il est composé de 4 grands axes :
le plan de secours. Il est notamment utilisé lors de la phase active du sinistre, mais aussi après. En effet, afin d'éviter de perdre du temps à trouver une entreprise qui surveille les batiments, une entrprise qui va venir décontaminer et nettoyer le sinistre, tout cela a dèjà été définis a l'avance.
le plan de communication. Comme évoqué dans l'article lié à la gestion de crise, la communication de crise doit être pris en compte ;
le plan marketing bis. Certains clients ne pourront plus être livrés du fait de la destruction de l'outil de travail. Afin de limiter la perte financière, il est nécessaire de définir une autre stratégie marketing sur laquelle se retourner ;
le plan de continuité d'activité. Ce dernier va prendre en compte différentes dimensions. Son objectif est de permettre de continuer à produire selon les moyens à disposition suite au sinistre. Il y a une partie lié à la production, aux finances, à la logistique, à la partie humaine, organisationnelle ainsi que les difficultés qu'il faudra surmonter.
En plus du plan de sauvegarde, il sera nécessaire d'analyser les causes de survenue de l'incendie et de mettre en place des actions afin d'éviter que celui-ci ne se reproduise.
Pour conclure...
Un incendie est une crise redoutée de tous, aux conséquences pouvant êtreê dévastatrices. Il est nécessaire de le prendre au sérieux en évitant le risque au maximum, puis en limitant son impact et enfin en préparant une nouvelle organisation en prenant en compte les dégats pour s'en remettre
Pour vous aider dans vos démarches VB Prév' vous aide pour l'ensemble des phases pour vous aider à éviter de vivre un tel sinistre.
Sources :
ISO 13943 ; Guide de Doctrine Opérationnel intervention sur les incendies de structures de 2018 ;ED 990 de l'INRS; arrêté du 26 mai 2014 modifié relatif à la prévention des accidents majeurs dans les installations classées mentionnées à la section 9, chapitre V, titre Ier du livre V du code de l'environnement.
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